De nombreuses installations ont déjà été construites par Hidrotec Tratamiento de Aguas, une entreprise née à Carthagène qui se spécialise en potabilisation et dessalement des eaux saumâtres et de l’eau de mer. Avec plus de 25 ans d’expérience dans le secteur, l’entreprise est renommée pour avoir en fonctionnement les stations de dessalement les plus anciennes de la région qui, dans la plupart des cas, fonctionnent encore avec les mêmes membranes avec lesquelles elles ont été construites, ce qui implique que ces installations se sont rentabilisées énormément et que le pourcentage du coût du mètre cube d’eau est très bas en raison de l’amortissement des membranes.

Cela fut possible grâce à deux facteurs fondamentaux : en premier lieu, en raison de la qualité du prétraitement physique (filtres de sable et microfiltres) et en deuxième lieu, grâce à la qualité du produit chimique, utilisé fondamentalement pour inhiber les précipitations de sels. Le contenu dudit produit dans l’acide phosphoreux qui agit comme antioxydant et protecteur du polyamide joue un rôle fondamental. C’est comme le bon cholestérol qui élimine le mauvais cholestérol des artères. Dans ce cas, le mauvais cholestérol, c’est l’acide phosphoreux qui se génère dans un scrupuleux procédé de production de l’inhibiteur de précipitations.

En raison de la prolifération de produits de ce type, dont l’origine n’est pas toujours recommandable, les membranes sont soumises à un effet de vieillissement progressif plus ou moins accéléré en fonction de plusieurs facteurs. Pour continuer avec l’analogie du cholestérol, c’est comme si nous ingérions tous les jours des petits pains pleins de gras trans et non avec de l’huile d’olive qui nous aidera à éliminer ces graisses « nocives ». Notre cholestérol serait sans doute mauvais. Tout comme pour le cholestérol, cela ne se produit pas d’un jour à l’autre : cela survient lentement mais inexorablement. À dire vrai, l’affaire qui nous concerne a une meilleure solution que le cas humain : il suffit de poser des membranes neuves, avec le coût économique qui en découle pour le propriétaire des installations.

Cette information est confirmée par une étude que certaines parties prenantes, comprenant des fabricants de membranes et produits chimiques, ont réalisé sur les inhibiteurs de précipitations qui s’utilisaient dans la région. Ils ont tiré des conclusions très intéressantes : la matière première est déficitaire, avec impuretés et déficiences dans l’élaboration finale du produit, ce qui génère des composés indésirables.

Faisons des comptes : entre la réduction de la vie utile des membranes et, dans de nombreux cas, le besoin ou parfois l’inattention d’un dosage excessif, nous perdons de l’argent. Toutefois, comme cela se produit graduellement, nous n’y faisons pas attention.

Chez Hidrotec, nous serons ravis de vous conseiller, sans engagement de votre part, sur l’optimisation de vos installations et de vous offrir les ressources nécessaires pour que vous puissiez être sûr de la rentabilité de votre équipement.